Les remparts de la Grande Ravine, peu accessibles, sont aujourd'hui le refuge des dernières reliques de végétation indigène, devenues très rares à l'échelle de l'île. En effet, les diverses pressions telles le défrichement lié aux activités agricoles ou le développement d’espèces exotiques (non-originaires de La Réunion) envahissantes ont conduit à la quasi disparition de la forêt semi-sèche dans la partie ouest de l'île. De plus, depuis le littoral, le paysage est spectaculaire.