Du fait de son histoire, le parcellaire est très morcelé sur ce vaste ensemble de marais. Les terrains mis en vente sont en général achetés par les chasseurs et les maisons vendues comme résidences secondaires, ce qui contribue à détruire la cohérence de l’espace agricole. A la demande de la SAFER et de la profession agricole, le Conservatoire du littoral a acquis fin 2010 quelques parcelles de marais.
Afin de maintenir les écosystèmes qui font la qualité de ces marais, les terrains à l’état de prairies naturelles sont loués à des éleveurs.